Depuis l’abandon du transfert de l’aéroport vers Notre-Dame-Des-Landes, les Ligériens ont l’impression d’assister de l’improvisation. Or, il s’agit d’une partition pour pipeau très bien écrite lorsque l’on connaît les objectifs du chef d’orchestre : l’État.
La chose commençait fort en matière de communication avec ses « mesures exemplaires » : création d’un droit de délaissement spécifique, léger coup de pouce pour les aides à l’insonorisation, « ateliers du territoire » avec le Cerema (fumeux, mais pour faire des photos avec les élus) et promesse d’aider à l’accessibilité de l’aéroport. Aujourd’hui, nous avons d’autres annonces.